Cliquez sur les différents organismes pour visualiser leurs activités
Des outils de cartographie et de nouvelles technologies pour la prévision et l’organisation Un réseau d’acteurs et une stratégie de prévention et de lutte contre les feux de forêt bien développée Des documents cadre qui sont liés : plan national d’actions contre la désertification; stratégie forestière espagnole Des plans de gestion: pour la forêt, le gibier Une expérience d’une partie de la population dans la gestion forestière Des organismes dédiés à la gestion des risques: BRIF, Brigade du feu des Asturies, associations et fédérations de chasseurs Des inventaires du MAGRAMA (réalisés par le laboratoire de santé des végétaux) qui permettent le suivi de la santé des forêts Une coopération avec la recherche |
Un réseau de volontaires difficile à maintenir Une faible présence humaine dans de nombreuses zones (principalement des propriétaires forestiers) et donc peu de personnes se sentant concernées par le risque (érosion, gibier, feu de forêt) Un manque de connaissance et d’expérience dans la dégradation du sol et peu de spécialistes Un déclin du nombre d’adhérents aux sociétés de chasse L’absence de prédateur naturel, l’exode rural, le changement d’usage du sol Un nombre important de propriétaires forestiers et d’agriculteurs qui ne facilite pas les actions communes et concertées et qui nécessite une communication efficace Peu de prévention et de recommandation |
Un climat atlantique avec des températures douces et des précipitations importantes en faveur de la production forestière La mise en place d’un meilleur système assurantiel Une amélioration du suivi: mise en place d’un réseau de tour de gué pour améliorer la surveillance (vérifier la pertinence avec la pente) Des ressources en eau Une forêt de production donc bien entretenue Un couvert forestier et biodiversité importante Des pâturages de montagne: couvert végétal sur le sol |
Le changement climatique Une topographie qui favorise l’érosion du sol et ne facilite pas l’accès aux forêts ce qui augmente la vulnérabilité des forêts aux incendies et au gibier Des forêts sujettes à de nombreux risques qui interagissent entre eux, notamment les feux de forêt et l’érosion Des phénomènes augmentant le risque d’érosion s’ils ne sont pas sous contrôle : urbanisation, industrialisation, élevage intensif, déforestation Un manque de gestion forestière et de gestion des risques en adéquation avec le potentiel forestier Des forêts majoritairement formées d’une essence ce qui les rend plus vulnérables aux ravageurs |