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Un réseau d’acteur : des ressources humaines et matérielles importantes Une gestion du risque à l’échelle du bassin de risque : des zones d’activités de confédérations hydrologiques régionales définies sur la base des bassins versants Une coopération et coordination entre le CMRM et les acteurs forestiers (ex : FEARMAGA) pour éviter les dégâts additionnels des tempêtes Une compensation des dégâts : attitude souple des agents et bonne prédisposition à rembourser les dégâts Une organisation compétente et reconnue en Galice : l’EFA Une gestion locale |
Une complexité dans la coordination des ressources Une coordination jamais établie par le passé (manque d’un plan de gestion de crise) Un possible doublon des activités de l’État pour la gestion du risque sanitaire (2 organismes) Une connaissance des mesures de protection limitée en dehors des périodes de gestion de crise Peu de ressources allouées à la gestion des risques sanitaires en forêt ainsi qu’à la gestion du risque de dégradation du sol Un nombre important de propriétaires forestiers qui ne facilite pas les actions communes et concertées et nécessite une communication efficace |
Des conditions climatiques atlantiques en faveur de la production sylvicole pouvant attirer plus d’investissements en faveur de la gestion des risques Des initiatives de collaboration comme FORRISK qui permettent de communiquer et d’échanger sur les pratiques dans les autres régions où les risques sont présents |
Des conditions climatiques actuelles en faveur des feux de forêt Le changement climatique Des forêts sujettes à de nombreux aléas qui interagissent (ex : feu de forêt et érosion) Le marché du bois : vulnérable aux événements de grande ampleur comme les tempêtes Un exode rural et une perte d’intérêt pour la forêt Des pathogènes encore inconnus qui pourraient menacer l’écosystème et le secteur économique La proximité des zones infectées par le nématode du pin |